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mercredi 5 janvier 2011

Islam : un danger bien réel

La migration des musulmans dans les territoires non musulmans est une stratégie de conquête dans le but de répandre l’islam pour préparer le djihad. L’objectif est de transformer peu à peu la culture du pays d’accueil de façon à imposer progressivement la charia.
Le premier stade consiste à faire accepter des activités caractéristiques de l’islam : lieux de prières, fondation d’écoles coraniques, bibliothèques, enseignement de l’arabe,… autant d’activités qui semblent, de prime abord, raisonnables. La mosquée devient le centre de toutes les activités de la communauté, dont l’une des priorités consiste à aider les nouveaux arrivants. Les non musulmans ne perçoivent pas le danger de cette première étape. Pour eux, les mosquées ne sont que des lieux de culte comparables aux églises.
Lorsque la communauté s’est suffisamment soudée, commence alors la lutte pour obtenir un statut spécial et l’application de la charia.
Les changements du code vestimentaire deviennent de plus en plus nets. On passe du port du hidjab au port du niqab dans les lieux publics, puis à l’abolition de la mixité dans les lieux publics, puis à l’abolition de la mixité entre hommes et femmes musulmans et finalement à la séparation des musulmanes et des non musulmanes. Petit à petit, la population indigène finit par s’habituer à ce qu’elle croit être des applications sans conséquence de la religion. Elle consent aux exigences de séparation entre hommes et femmes dans les lieux publics ou dans les lieux de travail, dans les écoles et les universités, ainsi qu’aux demandes de repas hallal, à l’interdiction du porc ou à l’ajout de fêtes musulmanes au calendrier. Or, toutes ces exigences empilées contribuent à donner un statut à la communauté musulmane, la rendant de plus en plus séparée et distincte. Au début, ces pratiques sont présentées comme des accommodements sans inconvénient avec l’islam, s’y opposer étant aussitôt qualifié de discriminatoire. Les musulmans commencent à demander l’abolition de la mixité à certaines heures dans les piscines et les salles de gymnastique, à exiger qu’on n’oblige pas les femmes à dévoiler leur visage pour prendre des photos pour le permis de conduire, à refuser de manipuler ou de transporter des produits contenant de la viande non hallal, etc.
Le but est d’habituer le pays d’accueil aux particularismes des musulmans, à leurs coutumes, à leurs fêtes, à leur code vestimentaire, leur nourriture. Bientôt, l’identité musulmane se durcit au fur et à mesure que les musulmans gagnent du pouvoir grâce à leur expansion démographique. Les mosquées, les écoles, les clubs leur média et leurs organisations se multiplient. La doctrine de la «  taqiya  » – mensonge et dissimulation stratégique – prend de plus en plus d’importance. Les mahométans cachent leurs objectifs en les faisant passer pour des revendications religieuses légitimes. Petit à petit, ils arrivent à modifier en profondeur la culture du pays d’accueil. Lorsque la croissance des communautés musulmanes s’étend sur tout le territoire, leur poids politique aussi : on multiplie les pressions sur les députés pour qu’ils autorisent les tribunaux islamiques : c’est ce qui s’est passé en Angleterre où coexistent maintenant deux systèmes de jurisprudence. Une fois que la charia est autorisée, les musulmans occidentaux doivent se conformer à ses prescriptions plutôt qu’aux lois en vigueur dans les pays d’accueil. Et puis on constate une augmentation des quartiers ou secteur réservés aux musulmans. De telles zones existent partout en Europe.
Voilà la stratégie de conquête de l’islam : miner les cultures et les valeurs des pays non musulmans et les remplacer par celles de la charia.
L’importance de plus en plus évidente de masses mahométanes installées a des implications sans fins. Une transformation sociologique s’opère et le coq gaulois se transforme en chameau arabe, ce qui génère de lourds défis. Une partie importante de la population souscrit à des thèses insolubles dans le moule occidental, et il y aura tôt ou tard un prix à payer.
C’est un des enjeux culturels majeurs que la société française devra affronter, et si possible gagner, dans les prochaines années.