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vendredi 24 décembre 2010

Naissance du Mouvement pour l’indépendance de la Kabylie

Le Mouvement pour l’Indépendance de la Kabylie est en marche !
arton5148efdf6.jpgJ’ai le plaisir de vous annoncer, au nom de mes camarades indépendantistes, que le MIK (Mouvement pour l’Indépendance de la Kabylie) est en place en Kabylie et à l’étranger (France, Québec, USA). Nous sommes plus convaincus que jamais que seule l’indépendance totale et définitive de notre chère Kabylie meurtrie, que le panarabisme et l’intégrisme assassinent à petit feu, est en mesure de nous assurer la survie de notre langue, de notre culture et de nos aspirations à la laïcité, à la liberté et à la démocratie. On ne peut prétendre à une kabylie véritablement libre et autonome sous un état “théocrate”, autocrate et hitlérien. Le drapeau et la constitution algériens ne nous reconnaissent pas dans notre kabylité naturelle, nous ne les reconnaissons pas.
L’indépendance est implacablement la solution qui s’impose de fait et nous allons tout faire pour l’atteindre en commençant par emprunter tous les sentiers pacifiques possibles. Le langage de la violence n’a jamais été le nôtre mais si l’Etat algérien continue à faire le sourd et, en plus, à nous violer dans nos propres maisons, nous allons riposter en utilisant des moyens similaires à ceux de cet agresseur sans foi ni loi. Nous vivrons Kabyles et libres ou nous mourrons Kabyles et dignes.
Par ailleurs, nous vous informons que notre site officiel ouvrira très prochainement et un forum est déja installé. Nous vous tiendrons au courant.
Anzar Djabri - Un porte-parole du Mouvement pour l’Indépendance de la Kabylie - MIK.

LE TERRORISTE Madani Mezrag légitime l’assassinat de Benhamouda


L’ex-émir national de l’Armée islamique du salut (AIS) autodissoute, Madani Mezrag, croque le mort, déterrant les martyrs de la République pour les assassiner une seconde fois. Dans l’édition de la semaine de El Khabar El Ousbouii , il légitime l’assassinat de Abdelhak Benhamouda, l’ancien secrétaire général de l’UGTA et président du Comité national pour la sauvegarde de l’Algérie (CNSA).

Abdelhak Benhamouda doit se retourner dans sa tombe. La République qu’il sauva des griffes tranchantes de l’intégrisme islamiste aménage, après plusieurs milliers de martyrs, une place honorable à ses bourreaux d’où, exonérés de poursuites et blanchis de leurs crimes, ils offensent leurs victimes assassinées. Madani Mezrag, converti en héraut mondain, en intermittent du prêche, s’en est pris au défunt Abdelhak Benhamouda, assassiné en 1997, et dont il légitime l’exécution par les terroristes. «Benhamouda avait pris les armes et combattait lui aussi. C’est pour cette raison qu’il a été assassiné», a-til soutenu, ajoutant qu’«ils tuaient et jetaient les cadavres dans les rues». L’ancien chef terroriste, comme se délectant de cette offense aux morts, à Benhamouda ici, précisément, a poursuivi sa litanie morbide en affirmant que «Benhamouda refusait l’élargissement des deux dirigeants emprisonnés du FIS, Abassi Madani et Ali Benhadj» et que «lorsqu’il apprit que le pouvoir était en négociation avec eux, il aurait dit qu’il n’accepterait jamais».

Pour Madani Mezrag encore, Abdelhak Benhamouda était bon à abattre, physiquement s’entend, dès lors qu’il avait organisé et mené la grandiose marche de dénonciation du terrorisme en 1993. «Cette marche, à laquelle ont adhéré et pris part de nombreux journalistes et de laïcs, était la principale cause de l’aggravation de la crise et de la détérioration sécuritaire, en ce sens qu’elle avait permis à ceux qui manœuvraient dans l’ombre de commettre leurs crimes.» Voilà par quoi Mezrag légitime l’assassinat de l’un de ceux qui furent à l’avant-garde du combat démocratique et qui paya de sa vie sa résistance farouche à l’hydre intégriste. Madani Mezrag, qui s’offusque de ce que la République ne l’a pas assez récompensé, ose l’offense comme s’il est assuré de n’en subir, au retour, nulle remontrance de la part des pouvoirs publics. La République, embaumée dans les parfums de la réconciliation nationale, a déserté son rôle de protection de la mémoire de ses dignes fils. Peut-être s’en trouvera-t-il parmi les compagnons syndicalistes de Benhamouda qui réagiront ? S’il s’en trouve, l’opinion prendra acte. Elle prendra aussi acte de leur silence.

Après les assassinats, le racket, voici venu le temps du racisme

Droukdel traite les Kabyles de sangliers

Le chef des sanguinaires du GSPC s’ingenue à trouver des méthodes novatrices afin de maintenir sa capacité de nuisance assassine. La dernière en date est un mélange de relent, religieux couplé à un racisme de bas étage.

Ainsi, selon un terroriste repenti, Droukdel a instruit son “émir” de la zone centre, Abou Houdhaïfa, de lever le pied sur la Kabylie. Cette instruction ferme, ordonne à Abou Houdhaïfa de cesser ou diminuer les exactions dans la région de Kabylie.

Cette dernière étant une zone stratégique dans les schémas des sanguinaires du GSPC, puisqu’ils l’ont dédiée en une zone de repli, de repos et de réflexion.

La nouveauté est loin d'être cette qualité apposée à la Kabylie par les terroristes islamistes, mais bien dans l’argumentaire et les justificatifs fournis par Droukdel à Abou Houdhaïfa.

Ainsi, le criminel en chef, tout en se disant convaincu que les Kabyles sont des impies et des mécréants, a instruit ses troupes par une image pleine de symboliques. Droukdel base sa fetwa selon laquelle “les Kabyles sont des sangliers, et par conséquent il ne faut ni les tuer ni les manger”. Mais cette fetwa a une durée de vie pas très longue et constitue une “trêve” conjoncturelle pour les besoins tactiques des hordes du GSPC.

Pour calmer les ardeurs criminelles de ses troupes, Droukdel promet que le temps viendra où il réglera leurs comptes aux habitants de la région de Kabylie.

Il sait également que cette démarche peut s’avérer payante par le truchement des relais propagandistes de l’islamisme dans la région.

Cela a été vérifié par le passé, quand les capacités de nuisance des terroristes se trouvaient amoindries, voire anéanties par, d’un côté, les coups qui leur ont été portés par les services de sécurité et l’ANP, et de l’autre par la mobilisation politique dans la région, il s’en est trouvé des propagandistes qui voulaient nous convaincre que les terroristes islamistes n’avaient pas de comptes à régler en Kabylie, mais s’en prenaient à l’Etat et au pouvoir.

La boucle était ainssi bouclée comme au début des années 1990 quand ils déclaraient que les journalistes et les policiers n’étaient assassinés que parcequ’ils étaient communistes.

Le crime étant justifié, nos propagandistes pouvaient rentrer chez eux et dormir tranquillement.
C. A.


Mise au point importante:

L’article n’exprime pas forcement l’avis du modérateur du blog, dans la mesure où cet islamiste de forets de DROUKDEL serait bien mort en 2004 !!

Nous pensons que ça serait une nouvelle magouille des services du DRS pour cultiver la peur en Kabylie avec l’aide des journaux lèche-bottes tels qu’ECHOUROUK, ENNAHAR, la DEPECHE DE KABYLIE...

Sachez que les deux premiers torchons sont gérés par deux lèche-bottes des services secrets à savoir Ali Fodhil(ECHOUROUK) et bien sûr Anis Rahmani (ENNAHAR).

Pour la dépêche de Kabylie (source de l’article), il suffirait juste de savoir que le patron de ce torchon n’est que le frère d’Amara Benyounes,pour tout comprendre..no comment !

Dr Saïd Sadi:" le FFS a disparu...et n'agressez pas les militants du MAK".


Le président du rassemblement pour la culture et la démocratie RCD, le Dr Saïd Sadi a animé le 25 sep 2010 une conférence au siège du parti à Paris, sis 100 boulevard de Belleville dans le 11ème arrondissement. Devant une soixantaine de sympathisants, le leader du RCD est revenu sur la situation politique qui prévaut actuellement en Algérie. Il a décrit une caste au pouvoir en fin de vie qui n’arrive plus à trouver des ressors nécessaires pour se pérenniser. Selon lui la le régime algérien est comme un produit périmé qu’on a maintenu congelé qui commence à se décomposer à mesure que la température monte.
Après le pouvoir personnifié pour l’orateur par la fameuse sécurité militaire c’est à la mouvance islamiste qu’il réserve les critiques les plus acerbes. Si pour lui cette mouvance a perdu de sa nuisance de jadis, il demeure que ses tenants continue à avoir une capacité de mobilisation sur un certains nombre de questions. Notamment l’affaire de la mosquée d’Aghriv et rappel par l’occasion que le fait d’appartenir à ce village n’est pas étranger au grand tapage médiatique de ce bras de fer entre villageois sur l’implantation d’un lieu de culte.
En abordant le volet des rivaux locaux à sa formation politique, le Dr Sadi a lâché devant l’assistance « le FFS a disparu… » Pour étayer ses propos il invoque sous un air de confidence sa rencontre avec un haut responsable de ce parti à l’enterrement du feu Arkoun. Il rapporte les propos alarmiste et une vision pessimiste de ce haut responsable de la formation politique du frère ennemi M Ait Ahmed Hocine.
Concernant le MAK le Dr Sadi a exhorté ses troupes à ne pas agresser les militants autonomistes. Comme l’ambiance était à la confidence, l’ex-ami de vingt ans de Ferhat Mehenni a soutenu que sa formation a encouragé la mouvance autonomiste vers ses débuts dans le but de provoquer une tchektchouka politique. Sur le plan régional, le conférencier a rappelé que les voisins de l’Algérie sont largement devant. Il a rappelé que cette dernière a intérêt à se maintenir à flot en restant au même niveau que le Maroc et la Tunisie, en espérant qu’elle ne les entraine pas au fond.
Le débat est ouvert par un militant qui apparemment a gros sur le cœur. Suite à cette montée de ton, qui toute fois n’a rien d’exceptionnel dans un débat démocratique. Sire Arezki Aider, secrétaire national de l’immigration m’a convoqué dans le bureau pour me demander de lui remettre l’enregistrement de ma camera, arguant que c’est une réunion interne interdite au public. Après d’ âpres négociations j’ai pu sauver la tête de mon film. Apparemment à force de combattre la dictature on reproduit les mêmes comportements que qu’on prétend combattre, n’est ce pas docteur Sadi. S’agissant de son excellence le député Aider, je ne comprends toujours pas comment on peut continuer à venir se goinfrer de bananes en France alors qu’on est désigné élu du bon peuple de cette république bananière, l’Algérie.
http://www.youtube.com/watch?v=zI9EOvKZ9Mg&feature=player_embedded