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lundi 21 février 2011

Ferhat Mehenni : « les Kabyles n'hésiteront pas à intervenir en cas d'agression contre les Amazighs de Libye »


PARIS (SIWEL) — Le Gouvernement provisoire kabyle a mis en garde les Kadhafi (père et fils) qu’il tiendra pour responsables d’un éventuel génocide contre les Amazighs de Libye.


Ferhat Mehenni avec le militant libyen Mazigh Bouzakhar, un des frères emprisonnés depuis le 16 décembre par la police de Kadhafi (Photo : Boualem K.)

Dans un communiqué transmis à Siwel, le président de l'Anavad, M. Ferhat Mehenni, a affirmé que « les Kabyles n’hésiteront pas à venir en aide à leurs frères libyens » au cas où le régime du fils de Kadhafi décide d'agresser les Berbères de ce pays.

« Dans la journée, d’hier (dimanche NDLR), le fils de Kadhafi a essayé de faire diversion en envoyant des blindés pour massacrer des Berbères au prétexte de séparatisme », a révélé M. Mehenni.

Il a ajouté qu'« il n’est pas d’issue, pour les sanguinaires au pouvoir depuis 42 ans, que la chute et la fuite. Le régime de Kadhafi est fini. La Libye et les Libyens vont enfin connaître la liberté et la démocratie. La Kabylie est à leurs côtés ». 

ysn 
SIWEL 211255 FEV 11






samedi 19 février 2011

la confrérie des kabyles libres

De la haine, de la haine brûlante — c’est ce que nous voulons déverser dans les âmes de nos millions de compatriotes kabyles, jusqu’à ce que s’embrase en Kabylie la flamme de colère qui nous vengera des corrupteurs (arabes et kabyles de service) de notre région.
C’est la raison pour laquelle la résolution de la question (kabyles  de service et arabes) est une question centrale pour la confrérie des kabyles libres. Cette question ne peut être résolue avec délicatesse; face aux armes terrifiantes de nos ennemis, nous ne pouvons la résoudre que par la force brute. La seule façon de combattre est de combattre durement. amirouche l’a dit, “si vous frappez, alors frappez dur! Le seul combat sérieux est celui qui fait hurler votre ennemi. Il n’y a ici aucune possibilité d’accommodation : l’arabe et ses complices demeureront à jamais des ennemis dans le cœur de notre peuple. Nous savons que s’ils se saisissent des commandes, nos têtes rouleront; nous savons aussi cependant que lorsque nous aurons le pouvoir entre nos mains, que Dieu ait pitié d’eux.
L'arabe qui apporte avec lui l'islam a pour but ultime de dominer les peuples. Par conséquent, l'arabe, cette sangsue, doit être exterminé, L’arabe en tant que ferment de décomposition  n’est pas à envisager comme individu particulier bon ou méchant, [il est] la cause absolue de l’effondrement intérieur de toutes les races, dans lesquelles il pénètre en tant que parasite. Son action est déterminée par sa race. Autant je ne peux faire reproche à un bacille de tuberculose, à cause d’une action qui, pour les hommes signifie la destruction, mais pour lui la vie, autant suis-je cependant obligé et justifié, en vue de mon existence personnelle, de mener le combat contre la tuberculose par l’extermination de ses agents. L'arabe devient et devint au travers des milliers d’années en son action une tuberculose de race des peuples. Le combattre signifie l’éliminer 
Aucun d’eux [les peuples dominés par les arabes] ne peut écarter cette main [celle des arabes] de sa gorge autrement que par le glaive. Seule, la force rassemblée et concentrée d’une passion nationale peut, d’un sursaut, braver les menées internationales qui tendent à réduire les peuples en esclavage. Mais un tel geste ne saurait aller dans effusion de sang, Si l’on avait, au début et au cours de la guerre, tenu une seule fois douze ou quinze mille de ces arabes et kabyles de services corrupteurs du peuple sous les gaz empoisonnés que des centaines de milliers de nos meilleurs travailleurs kabyles de toute origine et de toutes professions ont dû endurer sur le front, le sacrifice de millions d’hommes n’eût pas été vain. Au contraire, si l’on s’était débarrassé à temps de ces quelques douze mille bâtards, on aurait peut-être sauvé l’existence d’un million de bons et braves kabyles pleins d’avenir, Les arabes et les kabyles de service seront anéantis dans notre pays. Ils n’auront pas, en toute impunité, manigancé le  20/04/1980.25/05/1998.18/04/2001 Ces jours seront vengé.  En exterminant cette peste, nous rendrons à l’humanité un service dont nos kabyles ne peuvent avoir la moindre idée.  Les lois de la vie exigent que des meurtres soient commis de façon ininterrompue afin que les meilleurs vivent, Beaucoup de d’arabes et de kabyles de service n’ont pas été, non plus, conscients du caractère destructeur de leur existence. Mais celui qui détruit la vie s’expose lui-même à mourir et les arabes et kabyles de service ne feront pas exception à la règle. Qui doit-on blâmer, le chat ou la souris, si le chat mange la souris ? 
  La nature est régie par la loi de la lutte. Il y aura toujours des formes d’existence parasitaires pour accélérer le combat et intensifier le processus de sélection entre les forts et les faibles. Dans la nature, la vie travaille toujours immédiatement contre les parasites; dans l’existence des peuples ce n’est pas exclusivement le cas. De là vient les dangers arabes et kabyles de service. Les peuples modernes n’ont donc d’autre solution que d’exterminer les arabes et les islamistes.
L’arabe doit partir de Kabylie. Je dis seulement qu’il doit dégager. S’il crève en route, je n’y peux rien. Je vois seulement une chose: s’ils ne partent pas volontairement, l’extermination totale, Nous n’avons aucune intention d’être des anti-arabes et anti-kabyles de service sentimentaux désireux de susciter des pogroms mais nos cœurs sont remplis d’une détermination inexorable d’attaquer le mal à sa base et de l’extirper de sa racine à ses branches. Pour atteindre notre but, tous les moyens seront justifiés, même si nous devons nous allier avec le diable.

vendredi 11 février 2011

CEUX QUI NOUS GOUVERNENT HABITENT UN AUTRE PAYS

En Algérie, ceux qui nous gouvernent et qui gèrent 150 milliards de dollars de réserve de change, habitent un autre pays. Militaires ou civils, membres des oligarchies qui pillent le pays, ils vivent dans des prisons dorés, leurs plages sont privées, leurs restaurants sont des clubs, leurs quartiers sont fermés par des herses de béton et de fer. Tout le pays est quadrillé de barrages, barrages policiers dans les villes, barrages militaires et de gendarmerie dans les campagnes. Pour rentrer à Alger, il faut au moins trois heures pour parcourir quelques kilomètres. On ne sait plus qui assiège qui. 

Mais depuis que les Tunisiens, nos voisins en territoires et en souffrance,  ont fait fuir leur président, Ben Ali, l’envié, le modèle de nos dictateurs, un pays qui marche, des citoyens dociles, des comptes en banque à droite à gauche, depuis que c’est le monde à l’envers, nos autocrates se bougent. Comme si en quelques jours ils allaient réparer ce qu’ils ont mis trente ans à détruire. Les voilà distribuant un peu plus généreusement la rente pétrolière, promettant à tour de bras, de résoudre la question du chômage, celle du logement, des loisirs et même de lever « peut-être » l’État d’urgence en vigueur depuis 1992. Subitement leurs compétences se réveillent, ils ne dorment plus. 

En moins de deux jours, les murs de la capitale se sont couverts d’affiches racoleuses, invitant les « jeunes » à se présenter pour obtenir « 30 000 » Dinars de « prêt sans intérêt », histoire de tous les transformer en entrepreneurs. Encore de l’argent qu’ils vont jeter par les fenêtres. Le gouvernement Ouyahia qui avait décidé sans réfléchir de mettre fin au secteur informel - sur lequel vivent chômeurs non déclarés et sans couverture sociale et richissimes hommes d’affaires  qui ne payent ni impôt, ni charges sociales - fait aujourd’hui marche arrière et c’est comme s’il déclarait solennellement qu’il n’y a plus d’État mais qu’il aime beaucoup la chaise sur laquelle il est assis. 

L’augmentation des produits de première nécessité : annulée. Le « 12S », cet acte de naissance à vie, qui a pourri la vie de dizaines de milliers d’Algériens, par la grâce duquel nous étions censés obtenir des passeports biométriques et en passant, devenir encore plus fliqués : annulé. Les partis d’opposition qui attendaient depuis des années un putatif agrément : en voilà deux de reconnu, aujourd’hui même, etc. La république bananière se donne en spectacle dans toute son arrogance et son incompétence. 

Même, Mouloud Hamrouche, ancien chef du gouvernement, notre Gorbatchev inabouti, ne dit pas autre chose quand il déclare poliment : « Après vingt ans, les gens ont pris conscience que l’impasse est là, le pouvoir a perdu beaucoup de son expertise, le gouvernement a beaucoup d’argent mais ne sait pas comment le dépenser, il ne sait pas comment mobiliser les potentialités économiques du pays parce qu’il y a un dysfonctionnement de l’administration gouvernementale. C’est un problème supplémentaire, grave (…)» 150 milliards de dollars de réserve de change et ils ne savent pas quoi en faire… Et quand ils nous apprennent ce qu’ils en font, c’est toujours au détour d’un scandale, corruption, transfert d’argent public à coup de milliards de dollars, tous les rouages de l’état sont impliqués, de l’affaire Khalifa aux prix faramineux des grands projets publics, autoroute est-ouest, métro d’Alger etc…. Ils fabriquent alors des procès où les lampistes payent de leurs vies brisées quelques séjours à l’étranger pendant que les premiers responsables, au sens pénal du terme, continuent, impunis, à décider de la vie et de la mort de 35 millions d’Algériens.

Au tour de l’Algérie d’éjecter boukhninisse(Bouteflika) ?


L’heure est à la révolte dans un Maghreb riche et prometteur aux richesses confisquées par une minorité de familles prédatrices. Le courage des Tunisiens sera-t-il compatible avec celui des Algériens ? En tout cas, l’exemple est donné et l’espoir de toutes les jeunesses du Maghreb réside bien dans le reformatage démocratique de leurs gouvernements ou de la « révolution expulsive » de leurs autocrates. Les Algériens vents faire un premier pas, qui sera sans doute douloureux, vers leur nouvel horizon. Le pouvoir, à Alger, pourrait vaciller tout comme en Tunisie. Tout dépend maintenant de la population et de sa volonté de jeter le joug. Mais, quoi qu’il advienne dans les heures, jours et mois qui suivent, la révolution tunisienne fera des émules, un immense mouvement de révolte gronde déjà dans un Maghreb jeune et demandeur de démocratie. Les peuples de ces régions ont un droit légitime à l’expression et à la liberté, un droit d’accès aux richesses de leurs pays, un droit à redistribution des dividendes du pétrole, du gaz ou du tourisme. Plus de la moitié de ces populations à moins de vingt ans, leur espoir réside dans le changement et c’est ce qui est en train de se produire.

Et, c’est vrai l’Algérie n’est pas la Tunisie, non pas, contrairement à ce que leur propagande veut faire croire, parce qu’il fait bon vivre dans ce pays, mais parce que les flammes de l’enfer nous sont devenues tellement familières qu’elles relèvent du fait divers. 200 000 morts pour mémoire, de 1991 à nos jours, massacres à la hache, viols en série, voitures piégées, une guerre civile, sans nom, sans visage, une guerre des ombres, sans héros, sans bourreaux et que des victimes. Victimes de qui, de quoi ? Il est interdit de poser la question, c’est la loi, toute personne qui s’y risquerait publiquement est passible des tribunaux. Une loi qui s’appelle, sans rire, "Charte pour la paix et la réconciliation nationale". Alors que nous n’avons pas fini de penser/panser les blessures de cette génération sacrifiée, nous sommes convoqués au chevet d’une nouvelle génération qui « tente de s’immoler ».
Tous les 20 ans, une génération chasse la précédente et s’invente de nouvelles armes pour se dire, mettre en accusation les dictateurs qui nous brûlent notre temps de vivre… à petit feu. Après les kamikazes des années 90, nous avons désormais les « immolés », comme si l’Algérie était devenue un immense manga, inventé par l’esprit démoniaque d’un orfèvre de la torture chinoise qui, jour après jour, vous harcèle la conscience et vous transforme le corps en lambeaux de chairs souffrants. Mourir alors c’est une autre manière de fuir. Fuir, comme les harragas. Harrag, c’est ainsi qu’on appelle ceux qui, sur des embarcations de fortune, tentent la mer comme issue, traversent la Méditerranée. Sans tombe et sans nouvelle. Harraga, cela pourrait se traduire en français par les brûleurs de frontières.
Le feu, donc, ne nous émeut plus, non pas parce que nous manquons de cœur mais parce que nous avons trop de mémoires. Vivre en dictature est un exercice épuisant et humiliant. Et pourtant chaque génération qui intervient sur la scène publique, politique, demeure habitée par le feu et renaît, quoiqu’on en dise, des cendres de la précédente. Démentant à chaque fois ces aveugles enfermés dans leurs bulles, politiques, spécialistes de la jeunesse, journalistes, qui s’interrogent à longueur de commentaires, dans leurs salons algérois ou d’ailleurs et se demandent : « Mais qu’attendent les algériens pour bouger ? » Mais ils bougent les Algériens. Ils n’arrêtent pas de bouger. Manifestations, grèves, arrestations, le monde des anonymes sans parti, avec juste leur humanité en bandoulière, est tous les jours dans la rue, dans une incroyable résistance à la volonté déclarée des pouvoirs qui se succèdent de les briser à coups de matraques, de grenades lacrymogènes, de chars que les jeunes appellent ‘azraïne, le diable.

jeudi 10 février 2011

L’AUTONOMIE OU LE FEDERALISME POUR L’ALGERIE


- le fédéralisme ou même le confédéralisme sont des idées anciennes dont il était question pendant la guerre d'Algérie et les kabyles n'en avaient pas le monopole !
Le traité de la Soummam l'a évoqué !
Le fédéralisme est en fait inclus dans le concept d'Algérie algérienne ! Cette dernière n'a d'ailleurs jamais existé !
On nous a endormis avec du nationalisme primaire de l'arabisme du bathisme de l'islamisme ! Du socialisme !......etc.


- l’autonomie régionale ou les Etats-Unis d'Algérie seraient la seule solution pour moi pour la simple et bonne raison qu'elle convient à la réalité ! En effet cette idée n'est pas née d'un délire idéologique ni d'une tentative de privation, de confiscation de l'indépendance algérienne. Cette idée prend en compte l'intérêt général de tous et est faite sur mesure pour la gestion du pays.
Ce n'est d'ailleurs qu'un logique retour a l'ordre pré colonial non ?
L’Algérie avec ses frontières d'aujourd'hui est une création française, ce n’est pas vieux mais c'est déjà dépassé !


- un état nation pour une population hétérogène c'est de la foutaise surtout quand l'on sait que l'unité tient au totalitarisme et a l'unicité et l'uniformité imposée par une poigné d'idéologue !
Quand va-t-on envisager l'avenir de l'Algérie en la regardant comme elle ? C’est à dire une société plurinationale.
Et je pense que toutes les sociétés issues du colonialisme devraient s'orienter vers ce type d'organisation, ce type de projet de société.


-l’autonomie ou le fédéralisme ou le confédéralisme est démocratique par essence.
En effet décentraliser les pouvoirs vers les régions,  est une forme de respect des nuances et des différences, de quoi EFFACER TOUS LES ANTAGONISMES ENTRE LES POPULATIONS, d'un même pays !
Évoluer vers une démocratie de proximité au moins pour la Kabylie me semble indispensable ! N’est-ce pas comme cela que nous fonctionnions autrefois ???


- l’autonomie ou le fédéralisme nous permettrait de régler plusieurs problèmes d'un seul coup ! En effet une révolution sanglante n'est ni possible ni souhaitable, et pourtant nous avons a faire a une dictature ! Et bien plutôt que de faire front contournons la !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Jouons la fine (une fois n'est pas coutume).
Le pouvoir serait en parti légué à la base ce qui laissera le peuple être libre de son destin à échelle humaine ! Nous ne serons pas capable de construire une démocratie par le haut alors construisons la par la base !
Nos sommités ne pensent qu'à s'engraisser, alors les citoyens doivent prendre conscience que personne d'autre qu'eux ne prendront en main leur avenir !


- stop a l'attentisme et en avant pour la prise de responsabilité des citoyens !


- il est évident que la reconnaissance identitaire-culturelle des amazighes n'en sera que plus simple ! Et elle ne se ferait pas par la standardisation (uniformisation) du berbère mais par diversité a échelle local !

mercredi 9 février 2011

Les femmes Kabyles ciblées par les islamistes « repentis »








Comme nous le savons toutes et tous, les femmes ont de tous temps été les gardiennes de la tradition et surtout de la langue que l’on nomme, à juste titre, la langue maternelle.
Toutes mutations linguistiques, et au final, identitaires se fait à travers l’acculturation des femmes qui transmettent la culture et la langue maternelle à leurs enfants : pour nous le Kabyle !
Après 40 années d’arabisation acharnée, et malgré les ENORMES moyens mis en œuvre par le pouvoir central arabo-islamique, l’arabisation de la Kabylie a échoué ! Eh oui malgré tous leurs efforts, nous parlons encore kabyle et nous sommes encore kabyles, grâce à nos mères, à nos sœurs et à toutes ces jeunes filles qui seront les mères kabyles de demain.
Grâce à elles, le pouvoir a échoué dans sa sinistre mission : ARABISER la Kabylie !
Face à l’échec de l’arabisation par les institutions de l’Etat, l’administration, la justice et surtout l’école, le pouvoir joue maintenant sa dernière carte, arabiser par le biais de l’islamisation radicale de nos femmes, gardiennes de notre culture et de notre identité ancestrale. Leur objectif : amener les femmes kabyles à parler arabe et le tour sera joué ! Nous deviendrons tous arabe !
Pour cela, l’Etat a déployé en Kabylie, les islamistes « repentis » « parlant le kabyle » et mélangeant allègrement à leur langage de nombreuses phrases en arabe (justifiant cet usage de l’arabe par des versets coraniques).
Ces repentis islamistes mènent actuellement une gigantesque campagne en Kabylie (en particulier dans les universités, les lycées et les collèges) sur le thème de « l’Islam a libéré la femme ! » avec comme principal argument « avant l’Islam, les filles étaient enterrées à la naissance !!! »
Ah ça c’est bien vrai, c’est même un fait historique ! Mais ça c’est VOTRE Histoire, c’est l’histoire de « votre djahiliya », ce n’est pas NOTRE Histoire ; Parce que NOUS Berbères, en Afrique du Nord, nous étions gouvernés par une femme : La valeureuse Reine DIHYA ! au moment où VOUS, vous enterriez vivantes ces malheureuses petites filles qui ont eu la malchance de naître parmi vous !
Nous ne vous laisserons pas faire de nos femmes vos esclaves éternelles en échange « d’un droit de vie » que vous leur faites miroiter comme étant une extraordinaire évolution !


                      A bas la propagande islamiste en Kabylie !
                                               
                     A bas l’arabisation de la Kabylie !
                                   
                     Vive les femmes kabyles qui refusent votre imposture
                                              
                      Vive la Kabylie libre et autonome


jeudi 3 février 2011

Bouteflika s'apprête à lever l'état d'urgence, en vigueur depuis 1992

Alors que l'opposition appelle à de nouvelles manifestations à Alger, le président Abdelaziz Bouteflika a annoncé, lors du conseil des ministres, qu'il allait lever l'état d'urgence en vigueur depuis 19 ans dans "un très proche avenir".



REUTERS L'état d'urgence en vigueur depuis 1992 en Algérie sera levé "dans un très proche avenir", a annoncé jeudi le président Abdelaziz Bouteflika cité par l'agence officielle de presse APS.
Le chef de l'Etat a également ordonné à son gouvernement d'adopter des mesures favorables à la création d'emplois et demandé à ce que l'ensemble des partis politiques aient accès aux antennes des radios et des télévisions.
A l'exception de la wilaya (préfecture) d'Alger, les manifestations seront désormais autorisées si les conditions exigées par la loi sont réunies, a-t-il ajouté.
L'état d'urgence, que l'opposition accuse de réduire les libertés politiques, a été instaurée en février 1992 en plein processus électoral suspendu par l'armée alors que les islamistes du FIS étaient en passe de devenir majoritaires au parlement.
Mercredi, l'agence officielle de presse APS a rapporté qu'un groupe de députés algériens parmi lesquels des élus pro-gouvernementaux avait déposé une proposition de loi en faveur de la levée de l'état d'urgence.
Son abrogation est une des revendications des mouvements d'opposition qui, à l'image de la Tunisie et de l'Egypte, ont tenté récemment de mobiliser leurs partisans.