Sa cible préférée est sans doute le premier ministre Ahmed Ouyahya auquel il réserve un long chapitre de son intervention. Pour lui, pour se maintenirà son poste ce " renié " d’At Bouadnane a sans cesse montré son anti-kabylisme. Cet homme qu’il qualifie de sans foi ni loi et qui peut passer selon ses propos du costume trois pièces à la gandoura pour contenter ses mentors du sérail. La preuve suprême de la traîtrise "de ce sinistre sire", sont les événements de Kabylie 2001. L’orateur rappela aux présents: « alors qu’il était ministre de la justice monsieur Ouyahya n’a pas levé le petit doigt pour dénoncer le massacre des siens ». Il a révélé que le premier ministre a dissuadé l’industriel Rebrab Isaad d’investir en Kabylie.
Dans le même sillage il descend à boulets rouges Amar Benyounes et son frère Yidir, qui selon lui sont devenus Hadj Bettou de la Kabylie pour l’un et cleptomane pour l’autre, depuis qu’ils ont fait allégeance à Bouteflika.
Répondant à une question d’un autonomiste kabyle, le député Nordine a rappelé avec emotion ce qui le lie avec M Ferhat Mehenni. Dans la foulée il a declaré « j’ai dit à Ferhat de rentrer au pays, après si le pouvoir a des hommes, des vrais qu’ils tentent de l’arrêter ».
Ould Ali, Hannachi et le chef de la sureté de Tizi-Ouzou ont eu droit à leur part du gâteau savamment dosé par le fils du colonel Amirouche. La salle peine à craquer était conquise comme le prouve les applaudissements nourris dont elle a gratifié l’orateur.
Cet après midi à Tizi-Ouzou entre colère et émotion Nordine Aït Hamouda a rappelé c’est quoi un homme en colère, de surcroit s’il est Kabyle.
© AP Kabyle.
je te dis bravo, tel père tel fils
RépondreSupprimerNordine Ait Hamouda et Ferhat Meheni des traitres
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